Lu ce jour dans le quotidien Sud Ouest (source : http://www.sudouest.fr/2014/07/10/les-originaux-de-leo-drouyn-au-chateau-1611205-2796.php)

Les originaux de Léo Drouyn au château

Les estampes sont regroupées sur le thème du pittoresque.

Les originaux de Léo Drouyn au château
Bernard Larrieu (à droite) a présenté l’exposition. © Photo

Photo P. C.

C‘est un rendez-vous, chaque année, à ne manquer sous aucun prétexte : l’exposition, au château, dans la salle du Navire, dans le cadre de la Fête à Léo et du Patrimoine girondin labellisée Scène d’été en Gironde.L’édition 2014, inaugurée samedi par Bernard Larrieu, en présence de la députée Martine Faure, du conseiller général Guy Moreno, et de l’administrateur Françoise Henry Morlier, présente des estampes originales sur le thème « Du pittoresque à l’archéologie monumentale en Gironde au XIXe siècle ».

Il s’agit d’une rétrospective de l’évolution au cours de laquelle le pittoresque (mot inventé par l’anglais Gilpin au XVIIIe) s’installe au cœur des paysages et de la représentation des monuments.

Le pittoresque introduit, par son originalité, ses aspects grandioses, de l’émotion dans la représentation, à laquelle s’ajoutent maints détails : animaux, humains, mais aussi éléments naturels tels que la pluie ou le brouillard. Paysages et monuments deviennent décors de contes de fées…

La préférence marquée pour les monuments de la période médiévale, avec ses ruines romantiques et ses châteaux, va donner aux estampes une réelle valeur iconographique qui sera ensuite utilisée par les « modernes » archéologues.

Léo Drouyn sera, entre 1840 et 1870, une sorte de passerelle entre l’artiste du pittoresque et l’archéologie scientifique, avant que les monuments ne disparaissent des œuvres à la fin du XIXe siècle.

L’exposition de trente estampes, auxquelles s’ajoutent plusieurs panneaux didactiques, propose un passionnant voyage dans les paysages girondins.

Patricia Callen

À voir au château de Cadillac jusqu’au 3 septembre.

Voici une activité qui laisse certains d’entre nous plutôt perplexes. En effet, est-on vraiment dans l’archéologie comme le proclame ce monsieur ou dans la recherche d’objets (voire une chasse aux trésors) pour remplir un hypothétique musée? Quelles sont les méthodes de l’archéologie dont il parle? De la simple prospection ou de réelles fouilles avec autorisation de la DRAC, relevés et rapports transmis à leur issue au Ministère de la Culture? Nous avons un peu l’impression que la notion d’archéologie devient de plus en plus floue de nos jours tant et si bien que n’importe qui s’engouffre dans cette dénomination afin de faciliter certaines activités, parfois délictueuses (nous ne disons pas que c’est la cas ici, bien entendu). Et le grand public, tout comme certains journalistes éprouvent systématiquement de la sympathie pour ces personnes, qualifiées de doux dingues, bien plus que pour les archéologues, les vrais, qui passent, eux, pour des emmerdeurs.

Des fouilles tombées du ciel

L’archéologue aéronautique Gilles Collaveri veut exposer les vestiges d’une trentaine d’avions qu’il a exhumés.

Des fouilles tombées du ciel
Gilles Collaveri et l’une de ses trouvailles. © Photo

photo A. P./« SO »

Commercial dans l’entreprise toulousaine ATR, filiale d’Airbus Group, Gilles Collaveri a concilié ses deux passions pour les avions et pour l’histoire en devenant archéologue aéronautique. « Tout a commencé lorsqu’un monsieur âgé rencontré sur le marché m’a emmené à Colomiers pour me montrer un arceau de verrière caché dans un buisson. Il avait vu l’avion s’écraser pendant la Deuxième Guerre. Quand j’entends parler d’un lieu, je prends ma pelle et je pars à sa recherche », raconte Gilles Collaveri.De trouvaille en trouvaille, grâce au bouche-à-oreille et dans une démarche rigoureuse et scientifique, le quinquagénaire passe tout son temps libre à explorer la région, entre forêts, plaines et montagnes, pour dénicher des vestiges d’avions. En cinq ans, il a retrouvé les traces d’une trentaine d’entre eux, datant de 1927 à 1945. Le plus ancien est un Latécoère de l’Aéropostale. « Il revenait du Maroc et est tombé à cause du mauvais temps. Nous avons retrouvé plusieurs pièces en très bon état à Aurignac, à l’ouest de Toulouse. Il ne reste aucun Latécoère complet en France. C’est passionnant de toucher du doigt le mythe de Mermoz et Saint-Exupéry ! », s’enthousiasme l’archéologue.

Appel à témoins

Boucle de ceinture, éclats de verre du tableau de bord, pièces de monnaie, boîte de dentifrice d’un passager, verrous de fermetures et finitions en cuivre… Ces pièces sont soigneusement rangées dans des boîtes, après avoir été nettoyées et parfois passées à l’électrolyse. Sa cave est remplie d’objets. « Le plus émouvant est de retrouver un objet personnel du pilote », ajoute-t-il. Les recoupements avec les archives permettent de retrouver l’histoire du pilote ou de ses passagers. « Toute personne qui a vu un avion s’écraser ou a des photos ou des pièces peut me contacter. De nombreuses personnes âgées possèdent des trésors qui risquent de disparaître. »

Parmi ses meilleures trouvailles, les pièces d’un Latécoère 298 520, découvertes près de Montségur (Ariège). « J’ai retrouvé le petit-fils d’un des passagers. Il travaille chez Airbus Helicopters et m’a raconté l’histoire de son grand-père. » L’archéologue a monté en septembre dernier une expédition pour retrouver les restes d’un bombardier allemand écrasé près de Saint-Bertrand-de-Comminges (Haute-Garonne). Il a fallu faire descendre des spéléologues dans un gouffre de 90 mètres.

Pour partager avec le grand public ses trouvailles et faire aimer aux jeunes l’histoire de l’aéronautique, Gilles Collaveri a conçu un espace de 50 m², qui sera intégré au musée Aeroscopia de Blagnac, fin 2014. Il y exposera les maquettes des avions auxquels appartiennent ces vestiges, ainsi que des panneaux explicatifs. Pour boucler son budget de 60 000 euros, il fait appel au financement participatif et s’est donné jusqu’au 15 juillet pour récolter 10 000 euros (1).

Armelle Parion, à Toulouse

www.fr.ulule.com/archeologie-aeroscopia. Contact : 06 07 31 89 28.

source : http://www.sudouest.fr/2014/07/09/des-fouilles-tombees-du-ciel-1609937-3105.php

Le quotidien Sud Ouest revient sur la découverte et la mise en valeur d’un élément majeur du système défensif médiéval de la cité d’Orthez (source : http://www.sudouest.fr/2014/07/08/le-fosse-moncade-a-25-ans-1608694-4329.php). Aperçu de l’article :

Le fossé Moncade a 25 ans

Des litres de sueur avaient été versés dans des conditions dantesques par une vingtaine de jeunes passionnés afin de faire voir la lumière à ce joyau historique.

Le fossé Moncade a 25 ans
S’il reste peu de vase dans le fossé, les archéologues de l’association Le Vieil Orthez nageaient dedans en 1989. © Photo

photo j-y P.

Juillet 1989, c’est le chantier autour de la tour Moncade. L’association d’érudition locale Le vieil Orthez est sur le point de faire sa plus grande découverte archéologique : un fossé maçonné daté du XIIe. De ce type, on en compte sur les doigts de la main en Europe.« Tout est parti d’une intuition de Thierry Issartel et Nicolas Sharf », explique Jean-Paul Lafont, membre de l’association et participant de l’aventure. « En apercevant une partie déblayée, ils ont su qu’il fallait creuser. Dès les premiers sondages du terrain, ils sont tombés sur ce fossé », ajoute Rafaël Delebarre, alors stagiaire venu d’Arras pour aider Le Vieil Orthez. « Quand on est arrivés, ce n’était qu’une décharge publique. »

Travail de pro en amateur

S’ensuivent trois semaines intenses de déblaiement en juillet. Les fouilles à Orthez se font alors en amateur. « Nous étions une vingtaine de jeunes de 18 à 25 ans à venir de toute la France. Une annonce avait été passée dans une revue d’archéologie. » Après une partie enlevée à la pelleteuse, « on extrayait la végétation et la terre à la main du fossé. Nous travaillions avec deux stagiaires en spéléologie, encordés pour enlever la végétation des remparts. » Mais la vase apparaît au fur et à mesure. Les conditions de travail sont dantesques. Lorsqu’il évoque ce problème, Jean-Paul rit jaune : « Nous en avions jusqu’à la taille, c’était nauséabond, on avait l’impression de vider une fosse sceptique ». Au moyen d’une pompe, ils l’évacuent peu à peu.

Ce chantier est toute leur vie à ce moment-là. « Nous avions installé des tentes autour de la bâtisse pour y vivre 24 heures sur 24. Nous étions transportés par l’excitation des recherches ». La Ville les fournissait en brouette, en pelle, truelles. Et pour les repas, « le restaurant municipal s’en chargeait ». La Direction régionale des affaires culturelles (Drac), nous a aidés financièrement. »

Ce fossé reste la plus belle découverte archéologique du Vieil Orthez.

Jean-Yves Paillé

Le quotidien Sud-Ouest donne à lire ce jour pas moins de 3 articles dédiés aux fouilles menées dans le Lot-et-Garonne par des archéologues rattachés à l’Unviersité, dont 2 sur le site de Bruch.

Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images

C’est un site autant précieux que rare sur lequel sont en train de travailler les archéologues à Bruch. Petite plongée dans les mystères d’un passé qui vous ramène dix-huit siècles en arrière. Pour en savoir plus sur le sujet, merci de cliquer ici

Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Une nécropole mérovingienne, installée ici entre le VIe et VIIe siècle de notre ère, a notamment été découverte. Les sarcophages tournent la tête vers l’orient et Jérusalem. © Photo Drouinaud Emilie
Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Le chantier universitaire rassemble de nombreux étudiants en archéologie. Il est dirigé par Isabelle Cartron (université de Bordeaux) et Dominique Castex (CNRS). © Photo Drouinaud Emilie
Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Les chercheurs ont également retrouvé les vestiges d’une maison gallo-romaine datant du IVe siècle après J-C. © Photo Drouinaud Emilie
Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Le coût des fouilles est estimé entre 15 000 et 20 000 euros par campagne. Il est assumé par le ministère de la Culture et le Conseil général de Lot-et-Garonne © Photo Drouinaud Emilie
Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Les ossements retrouvés permettront de déterminer l’âge des défunts, leur sexe et état sanitaire général © Photo Drouinaud Emilie
Bruch (47) : les fouilles archéologiques de la nécropole mérovingienne en images
Le terrain appartient actuellement à un privé mais le dossier pourrait rebondir tant le potentiel touristique et historique du site est précieux © Photo Drouinaud Emilie

source : http://www.sudouest.fr/2014/07/09/bruch-47-les-fouilles-archeologiques-de-la-necropole-merovingiennes-en-images-1610388-3641.php

Bruch (47) : une villa gallo-romaine et une nécropole mérovingienne sous les pieds

Les archéologues ont repris leurs travaux sur ce site que le Val d’Albret pourrait finalement acquérir.

Bruch (47) : une villa gallo-romaine et une nécropole mérovingienne sous les pieds
Le site, réinvesti en début de semaine, sera ouvert au public le 14 juillet après-midi. © Photo

photo Émilie drouinaud

Fouilles archéologiques et recherches anthropologiques saison IV. Depuis lundi et durant trois semaines, un quarteron d’étudiants en stage pratique manie la pelle, le balai et la truelle sur ce terrain creusé depuis 2011. Un chantier universitaire conduit par Isabelle Cartron de l’université de Bordeaux et Dominique Castex du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), étalé sur 250 m² en bordure de la départementale des Landes, à Bruch.Le propriétaire veut vendre

Un site rare et un sous-sol riche d’où ont été exhumés les murs d’une villa gallo-romaine datant des IIIe et IVe siècles après J.-C. ainsi que les tombeaux d’une nécropole mérovingienne, installée ici entre les VIe et VIIIe siècle.

« On sait également qu’une église a été édifiée au XIIIe siècle dans ce périmètre, complète Isabelle Cartron. Les murs de la villa sont parfaitement conservés sur une hauteur de 80 cm. Quant aux sarcophages, qui font pour certains office de petits caveaux, ils tournent la tête à l’ouest pour permettre de scruter vers l’orient et Jérusalem. Enfin, avec les ossements retrouvés et actuellement en cours d’expertise, on va pouvoir déterminer l’âge des défunts, leur sexe, leur état sanitaire général… »

Voilà pour le contexte historique d’un chantier sur lequel planent sinon des doutes, du moins quelques nébulosités. Le terrain appartient à un privé cherchant acquéreur pour cette parcelle forcément peu attractive en l’état. « Chaque année, au moment de revenir, nous nous demandons si le propriétaire donnera son accord pour la poursuite des recherches », soulève Isabelle Cartron.

15 000 à 20 000 € la session

Dans cette situation, l’archéologue convient devoir creuser avec le dos de la pelle : « Nous n’avons pas les mains libres pour organiser les fouilles. Nous pensons qu’il faudrait pourtant élargir les recherches sur une superficie d’un hectare. »

Ce dossier devrait cependant rebondir. Tant le potentiel touristique et historique du site est appréciable et précieux. D’ailleurs, sans le départ précipité de Bernard Faucon-Lambert de la présidence, la Communauté de communes du Val d’Albret (CCVA) en serait désormais propriétaire.

La CCVA est toujours prête à investir. « Nous sommes plutôt favorables à l’achat de la parcelle, mais sous certaines conditions », rappelle Nicolas Lacombe, maire de Nérac et président de l’intercommunalité (lire ci-dessous). À ce jour, le Val d’Albret prend à sa charge les repas des archéologues. Quant au coût des fouilles, estimé entre 15 000 et 20 000 euros par campagne, il est assumé par le ministère de la Culture et, en partie, par le Conseil général de Lot-et-Garonne. La nécropole sera ouverte au public lundi 14 juillet après-midi.

source : http://www.sudouest.fr/2014/07/09/fouilles-en-terrain-a-vendre-1609899-3641.php

Villeneuve-sur-Lot : ce que l’on a découvert en trois ans de fouilles à Eysses

La campagne annuelle de fouilles s’achève à Eysses, Alain Bouet dresse un bilan prometteur.

Villeneuve-sur-Lot : ce que l’on a découvert en trois ans de fouilles à Eysses
Les visites du site, organisées par l’office de tourisme, ont permis aux Villeneuvois de venir découvrir une partie méconnue de leur patrimoine. © Photo

photo A. B.

Sur le terrain qui jouxte le centre de détention de Eysses, une poignée de forçats creusent en silence. La troisième et dernière campagne de fouille archéologique sous l’égide de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) Aquitaine, touche à sa fin. Une vingtaine de fouilleurs, des étudiants, des bénévoles et des professionnels, sont à pied d’œuvre six jours par semaine, malgré les fortes températures. Et chaque jour, au grès des fouilles, le site change, un mur se découvre, un autre disparaît sous une bâche, des objets sont sortis de terre et entreposés pour être analysés.Alain Bouet, archéologue en chef du projet et professeur de l’université de Toulouse, est de retour, pour dresser le bilan d’une campagne qui s’achève demain soir : « J’ai découvert ce site au fur et à mesure, et mon intérêt est allé en grandissant au fil des campagnes. Les découvertes que nous avons faites confirment que nous sommes face à un site majeur, nous sommes dans de la ‘‘ très grande architecture romaine », il ne doit exister qu’une dizaine de sites de cette ampleur en France. »

Questions sans réponses

Mais pourquoi ici ? Pourquoi cette agglomération secondaire de la cité romaine d’Aginnum ( Agen ) possédait-elle un si gros sanctuaire, vaste de 1,4 hectare de surface ? Pourquoi trouve-t-on, une centaine de mètres plus loin les vestiges d’un campement militaire sédentaire, qui par sa taille serait tout aussi exceptionnel ? L’archéologue n’a malheureusement pas toutes les réponses à ces questions : « Nous avons pris du retard sur ce premier site, nous avons trouvé beaucoup d’éléments supplémentaires depuis les premières fouilles, qui ont eu lieu dans les années 1980. L’objectif cette année, c’était d’avoir une meilleure compréhension du plan du sanctuaire, nous avons découvert de nouveaux bâtiments secondaires dans la cour, ces dernières semaines. » Les nombreux éléments de marbre retrouvés permettent d’avancer que le décor était particulièrement riche et soigné. Si la plupart des marbres proviennent des Pyrénées, quelques plaques sont issues d’Anatolie, de Grèce ou encore de Tunisie.

Une nouvelle campagne ?

Mais Alain Bouet aimerait bien ne pas en rester là. « J’espère que nous allons pouvoir lancer une nouvelle campagne de fouilles triennale, pour aller explorer un terrain un peu plus loin, au pied de ce qui nous semble être une tour, mais qui là aussi peut réserver des surprises. Nous allons faire une nouvelle demande triennale auprès du Service régional d’archéologie à Bordeaux, et rendre notre rapport pour décembre. »

source : http://www.sudouest.fr/2014/07/09/ce-que-l-on-a-decouvert-en-trois-ans-de-fouilles-1609973-3603.php

Dans notre série hommage à la Fédération Historique du Sud-Ouest, nous vous invitons à découvrir quelques nouveaux articles issus de numéros anciens de cette série d’actes de colloques. C’est la dernière livrée et nous espérons qu’elle vous incitera, ainsi que les autres précédemment mises en ligne, à acquérir chaque acte dans son intégralité en contactant la FHSO qui bénéficie de son site internet.

Il est important de participer à la vie des associations culturelles et patrimoniales, soit en achetant leurs publications, soit en adhérant à l’une d’elle et pourquoi pas, en proposant vous même de communiquer sur vos recherches le cas échéant. Si vous décidez de franchir le pas et que vous ne savez pas vers quelle association aller en fonction de votre zone géographique, l’encyclopédie en ligne Wikipédia peut vous aider : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_soci%C3%A9t%C3%A9s_savantes_d%27histoire_et_d%27arch%C3%A9ologie_en_France

Mais revenons à notre sujet initial :

Langon, Sauternais – Cernès actes du XXIIe Congrès d’études régionales tenu à Langon les 2 et 3 mai 1970 :
– Les Basaboiates, par L. Maurin
– Recherches sur l’ancienne collégiale de Villandraut, par J. Gardelles

Le Médoc histoire, art, économie actes du XVIe Congrès d’études régionales tenu en Médoc les 18 et 19 mai 1963 :
-Les cadres culturels préhistoriques autour de l’estuaire de la Gironde, par A. Coffyn et R. Riquet
– A propos de la « ville de Brion » (Saint-Germain-d’Esteuil), par R. Coustet
– Le trésor de Margaux : contribution à l’histoire de la circulation monétaire au début du IVe siècle après Jésus-Christ, par D. Nony

Soulac et les pays médocains actes du XLIe Congrès d’études régionales tenu en Médoc les 16 et 17 avril 1988 :
– Le Médoc antique, par L. Maurin
– Trois fosses d’extraction d’argile du Premier Age du Fer, par E. Vernhet
– Une structure cinéraire du Bronze Ancien à la Balise, par E. Vernhet
– Le dolmen de Barbehere, Saint-Germain-d’Esteuil (Gironde), par M. Devignes et A. Coffyn
– En Médoc, avant le vin, le bronze, par A. Coffyn
– François Daleau et l’Age du Bronze en Médoc, par H. Sion
– La levade, ancien grand chemin public de Bordeaux à Soulac, par D. Brocheriou et M. Baron
– L’ancienneté du peuplement humain en nord-Médoc à tavers les vestiges préhistoriques, par J. Moreau
– Numismatique antique du nord-Médoc (Gironde), par R. Boudet et J. Moreau
– Le site de Brion à Saint-Germain-d’Esteuil (Gironde), par S. Faravel et P. Garmy
– Essai de prospection sous-marine sur le littoral nord-Médocain, par E. Vernhet
– Les fouilles du « Bois Carré » à Saint-Yzans-de-Médoc, par M. Faure