Un peu de pub pour un musée qui le mérite, tant par la qualité des informations qui y sont fournies sur le peuplement antique de l’Aquitaine méridionale, que par le professionnalisme des guides animateurs, par ailleurs archéologues.

Site internet : http://www.musee-claracq.com/

Page Facebook : https://www.facebook.com/Mus%C3%A9e-gallo-romain-Claracq-454193481333140/

[OUVERTURE MUSEE] Dès aujourd’hui, le musée gallo-romain rouvre ses portes pour la nouvelle saison et vous accueille du mardi au samedi de 14h00 à 18h00 (dernier départ de visite à 17h00). Pour les visites, deux formules s’offrent à vous :

– Visite libre : Seul ou équipé d’un audio-guide, découvrez l’exposition permanente et la civilisation gallo-romaine grâce à la présentation des vestiges de la villa gallo-romaine de Lalonquette et des résultats des fouilles archéologiques.

– Visite guidée : Vous parcourrez l’exposition permanente en compagnie d’un guide-animateur et profiterez ainsi de ses connaissances du terrain pour approfondir diverses thématiques historiques et techniques (et oui, nos animateurs sont aussi archéologues). Place à la discussion, devenez acteur de votre propre visite !

Réservez dès maintenant votre visite guidée (sans supplément sur le billet d’entrée) : 09.67.13.86.69

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Un article paru dans Sud Ouest (source : http://www.sudouest.fr/2016/04/20/la-sorcellerie-sabbatique-n-a-pas-du-tout-existe-2335854-4018.php) annonce la présentation prochain d’un ouvrage prometteur sur la répression subie au Pays Basque au XXe, euh…non, pardon, au XVIIe siècle. 😉

Entre Inquisition et soupçons des autorités publiques vis-à-vis d’un territoire frontalier insaisissable dans sa culture et ses pratiques, l’auteur démêle le vrai du faux pour mieux remettre en cause certaines idées reçues quant à la chasse aux sorcières qui s’est déroulée au début du XVIIe siècle, tant dans les provinces basques du nord que dans celles du sud. A l’instar de ce que répètent régulièrement les mouvements néopaïens ou la Wicca, l’auteur réfute l’existence pour cette période de pratiques démoniaques, la sorcellerie étant avant tout histoire de pratiques de guérison (ou d’envoûtements) mi-magiques, mi-herboristes. La sorcière en basque, « sorgin », serait étymologiquement, d’après le linguiste Michel Morvan dans « Les origines linguistiques de la langue basque » rien de moins que Read More →